jeudi 23 novembre 2017

VIOLENCE CONTRE LES FEMMES

25 NOVEMBRE: JOURNÉE INTERNATIONALE POUR L'ÉLIMINATION DE  LA VIOLENCE À L'ÉGARD DES FEMMES 

L’une des violations des droits de l’homme les plus dévastatrices

Aujourd’hui, la violence à l’égard des femmes et des filles constitue l’une des violations des droits de l’homme les plus répandues, les plus persistantes et les plus dévastatrices dans le monde.
Les inégalités entre les sexes persistent dans le monde entier, empêchant les femmes et les filles d'exercer leurs droits fondamentaux et compromettant les perespectives qui s'offrent à elles. Selon le dernier rapport du Secrétaire général des Nations Unies, des efforts plus énergiques devront être faits pour parvenir à l'égalité des sexes et autonomiser les femmes et les filles, notamment sur le plan juridique, afin de lutter contre les discrimination sexistes profondément ancrées, qui sont souvent la conséquence d'attitudes patriarcales et de normes sociales apparentées.

Des faits inadmissibles

La violence à l'égard des femmes est la forme la plus extrême de discrimination. D'après les données recueillies auprès de 87 pays de 2005 à 2016, 19% des femmes âgées de 15 à 49 ans affirmaient avoir subi des violences physiques ou sexuelles infligées par un partenaire intime au cours des 12 mois ayant précédé l'enquête. Dans les cas les plus extrêmes, ces violences peuvent conduire à la mort. En 2012, près de la moitié des femmes victimes d'homicides volontaires dans le monde avaient été tuées par un partenaire intime ou un membre de leur famille, contre 6% des hommes.
La mutilation génitale féminine représente un autre cas d'extrême violence. Cette pratique a baissé de 24% depuis l'an 2000 environ. Pourtant, sa prévalence reste élevée dans certains des 30 pays disposant de données représentatives à ce sujet. Une enquête réalisée dans ces pays vers 2015 révèle que plus d'une fille sur 3 âgées de 15 à 19 ans a subi un type de mutilation sexuelle, contre près d'une sur deux autour de l'an 2000.
Enfin, tout juste un peu plus de la moitié (52%) des femmes âgées de 15 à 49 ans, qui sont mariées ou vivent en union libre, prennent leurs propres décisions en matière de sexualité, de méthodes contraceptives et de services de santé. Ce chiffre est tiré de données remontant à 2012 environ, disponibles pour 45 pays dont 43 situés dans des régions en développement.
 Cette année sera marquée par la campagne TOUS UNIS sur le thème « Ne laisser personne de côté : mettre fin à la violence à l'égard des femmes et des filles ». Comme les années précédentes, la couleur orange est un thème central et unificateur de toutes les activités. Les bâtiments et les monuments seront illuminés et décorés en orange afin d'attirer l’attention de tous sur la question de la violence contre les femmes et les filles. 

Source: Nations Unies


3 commentaires:

  1. L'amour ne fait jamais mal! On doit ámeliorer l'éducation des enfants si on veut finir avec cet horrible problème que n'est pas seulment des femmes mais de toute la société.

    Armando Navarro

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  2. Salut, je suis Marcos (4ºD). Je suis pour l'égalité entre les hommes et les femmes. À mon avis, le problème est dans l'éducation et les messages qui nous entourent.

    Toute la pub qu'on regarde à la telé est plein de vidéos et images qui utilisent les femmes comme des objets sexuels, et quelques chansons très connues aussi. On doit faire plus d'éffort en parlant ces sujets avec nos cercles.

    Bon week-end!!

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  3. Javier Castaño Balsera 4ºD
    Bonjour, j'ai lu l'article sur la violence contre les femmes.

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