Étudier à l'étranger permet de trouver plus facilement du travail
Curiosité, confiance en soi, travail en
équipe... Faire des études à l’étranger développe les compétences
humaines les plus recherchées par les employeurs, selon une étude menée
auprès de 4500 Américains.
Étudier à l’étranger est, plus que jamais, un passeport pour l’emploi. C’est ce que confirme une étude de l’Institute of International Education (IIE),
un organisme américain chargé de promouvoir les programmes d’échange
universitaires, auprès de 4565 Américains ayant étudié à l’étranger. Et
63 % des répondants partis au moins une année estiment que leur
expérience à l’étranger les a aidés à trouver un emploi. Un taux qui
tombe à 43 % chez ceux partis moins de huit semaines. Curiosité,
confiance en soi, travail en équipe... Une expérience à l’étranger
consolide les soft skills (compétences humaines et relationnelles) les plus recherchées au XXIe siècle, selon le rapport.
Trois quarts des répondants estiment avoir «significativement» développé
leur flexibilité/adaptabilité, leur curiosité, leur confiance en soi et
leur connaissance de soi. En revanche, très peu de répondants (15 %)
estiment avoir amélioré leurs compétences techniques.
Des compétences à valoriser lors des entretiens d’embauche
Ce sentiment varie en fonction des études suivies. Les étudiants en
langues vivantes, en droit, en business/management et en éducation sont
plus nombreux à considérer que les études à l’étranger ont contribué à
leur insertion professionnelle. À l’inverse, la majorité des étudiants
en physique et en arts minimise l’impact de cette expérience.
78 % des répondants indiquent avoir discuté de leurs études à
l’étranger lors de leurs entretiens d’embauche. Néanmoins, «les
employeurs ne posent pas systématiquement de questions sur l’expérience à
l’étranger», remarque l’étude. Lorsque les candidats évoquent leur
expérience, c’est avant tout pour mettre en avant les compétences qu’ils
ont acquises et justifier leurs choix de carrière.
Source: etudiant.lefigaro.fr
Je suis d'accord avec cet article. Les expériences à l'étranger sont l'occasion d'acquérir une perspective différente, ce qui peut nous aider dans un travail, car on pourrait réussir à la résolution d'un problème, une difficulté, grâce aux connaissances acquises.
RépondreSupprimerFernando Baena
-Cristhian Acosta Pereyra
RépondreSupprimerÉtudier à l'étranger doit être une experiencie inoubliable, plus encore si le pays où vous allez est un pays top au niveau mondiale dans votre spécialité. Moi, je voudrais aller aux états-unis au moins une fois, pour qu'ils me transmettent un peu de ce regard qui mélange concurrence et compétence.
Tout d'abord, je suis complètement d'accord avec cet article. Étudier à l'étranger signifie connaître des nouveaux points de vue et des façons de penser, ce qui est très importante pour le développement personel. Heuresement, j'ai eu l'opportunité de voyager à l'étranger plusieurs fois, et ces sont des experiencies incroyables.
RépondreSupprimerGonzalo Sarramea Arevalillo
À mon avis, étudier à l'étranger est chaque jour plus viable et presque obligatoire. Je voudrais le faire, mais je ne sais pas où.
RépondreSupprimerJe crois que dans les ciences c'est aussi important de développer les capacités pour se rélationer, parce que maintenant les investigateurs de différentes branches se joindre et travaillent ensemble.
María Jinxue 2ºbachibac
J'aimerais bien aller, une expérience unique dont on peut se construire et se nourriser avec plus de perspectives différentes, peut-être celles qui échapent de notre point de vue de chaque jour. Je souhaite avoir le choix d'en profiter quelque jour et lire cette commentaire pour me rappeler de ce qu'un jour a été mon rêve, mon vrai rêve
RépondreSupprimer-Dayanna Guzmán 2A
Vraiment étudier à l’étranger nous donne plus de possibilités pour trouver un emploi, mais c’est aussi une excellente expérience de se former personnellement en plus de professionnellement. Cependant, il peut être difficile de choisir poursuivre les études dans un nouveau pays à un âge relativement précoce.
RépondreSupprimerSilvia Muñoz