Et oui, voilà on est déjà 25 novembre! et cette année, pour le 25 novembre 2020, dans beaucoup de pays on ne pourra pas manifester pour exprimer nos colères, ni marcher pour lutter ensemble mais on doit quand même faire entendre nos voix ! Qu’il s’agisse de violences conjugales, intrafamiliales physiques, sexuelles, psychologiques, administratives… à l’égard des femmes et des enfants, des personnes en situation de handicap, des personnes lesbiennes, des personnes trans… la liste est longue pour décrire toutes les violences subies.
Les violences peuvent toucher tout le monde. De n’importe quel âge, origine, milieu social… Et la situation de confinement ou semi-confinement à laquelle nous entraîne la pandémie du covid montre encore l'ampleur de ce fléau: imaginons la peur de ces femmes, de ces enfants confinés avec leur bourreau!Mais les victimes ont aussi peur de parler, de raconter les violences qu'elles subissent. Voilà une publicité qui encourage les femmes à en parler:
Quelques publicités encore qui mettent l'accent sur les différentes formes de violence: à travers les enfants on peut voir ce qu'il y a à l'intérieur de certains foyers:
Et voilà où certaines situations peuvent nous conduire: arrêtons avant! halte aux violences conjugales!!!
Mais il y a aussi d'autres façons de montrer son refus à la violence. Écoutons cette chanson de Bigflo &li: Dommage!
Et la chanteuse franco-chilienne Ana Tijou qui nous chante Antipatriarca
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