lundi 28 janvier 2019

TAXI, UBER, CABIFY ... GROS CONFLIT!

Menacés à Barcelone, Uber et Cabify résistent à Madrid

Les chauffeurs de taxi de Barcelone ont convenu jeudi dernier de mettre fin à la grève entamée il y a six jours pour exiger plus de réglementation du secteur de la location de véhicules avec chauffeur (VTC), tandis qu'à Madrid, les manifestations se sont intensifiées.

Dévoilée vendredi, une nouvelle réglementation devait obliger les usagers d’Uber ou Cabify à réserver au moins 15 minutes à l’avance. Un délai jugé bien trop insuffisant par les taxis qui réclamaient une réservation avec 12 ou 24 heures d’avance.
Mardi, le gouvernement régional avait déclaré qu’il laisserait aux municipalités la possibilité d’allonger le délai obligatoire de réservation "jusqu’à un maximum d’une heure", selon une porte-parole. La maire de Barcelone Ada Colau avait indiqué mercredi que ce délai d’une heure allait être appliqué dans la métropole catalane.

L’Espagne n’est pas un cas isolé en Europe

La tension qui existe entre les chauffeurs de taxi et le VTC n’est pas unique à l’État espagnol. En Europe, chaque pays a sa propre réglementation en matière de coexistence entre les chauffeurs de taxi et les conducteurs de VTC. Dans la plupart des cas, il y a déjà eu des différends.
Uber, la plateforme de transport privé la plus répandue en Europe, était présente dans 65 pays en 2018 et dans plus de 650 villes.
En 2017, la Cour de justice de l'Union européenne a conclu que les services de transport tels qu'Uber devaient être réglementés comme des taxis. L'Europe s'est alors positionnée en faveur des chauffeurs de taxi. La Cour a estimé qu'Uber était comparable à un service public et devait donc être soumis à des réglementations et à des licences 
En France, la coexistence entre véhicules VTC et taxis est similaire à celle de l'Espagne, au point que les chauffeurs de taxi ont annoncé des mobilisations vendredi prochain. À Paris, il y a deux fois plus de taxis que de véhicules privés avec chauffeur. En outre, la France est l’un des pays pionniers à vouloir faire avancer le précontrat minimum de 15 minutes à l’avance, mais le Conseil d’État ne l’a jamais approuvé.
d'après lepetitjournal.com

3 commentaires:

  1. -Cristhian Acosta Pereyra
    Ce que les chauffeurs des taxis demandent c'est de l'egalité, porquoi ils doivent payer coûteuse licences des taxis et les autres non, si leur travail est pratiquement le même? Il faut donner justice et le gourvenement doit réagir, à mon avis pour les chauffeurs des taxis.

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  2. C'est claire que le succès des VTC's a été innatendu. Il y a quelques années, l'apparition des entreprises comme par exemple Uber paraissait imposible, peut-être car nous étions tros habitués aux taxis. Je n'ai jamais aimé les taxis: selon mon experience, les conducteurs des taxis ont toujours été antipathiques, et le service est tros cher. Ainsi, je crois que ces nouvelles options comme Uber, qui est moins cher et plus rapide, sont géniales comme alternatif aux taxis.
    Gonzalo Sarramea Arevalillo

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  3. Je ne sais pas exactement quel est le problème entre le chauffeurs des taxis et les VTC. Mais je sais que dans les grandes villes, les VTC sont plus pratiques parce qu'ils sont moins cher et ils offrent plus de sécurité.
    Pour les jeunes comme nous est plus facile de prend un Uber. Nos parents peuvent savoir notre localisation pendant tout le trajet et les donnés personelles du chauffeur.

    María Jinxue 2º bachibac

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