Le "crush", un coup de coeur virtuel de la génération X et Y
Écraser. Voici la toute première
signification du mot anglais “crush”. Mais depuis quelques années, le
mot a pris un tout autre sens en France (du moins on l’espère). L’application Happn
qui réunit quatre millions d’inscrits en France a contribué à
populariser le terme depuis quelques années. Si Tinder utilise des
“matchs” pour signifier que deux personnes se plaisent, eux ont choisi
de parler de “crush” depuis leur lancement en 2014. Sur leur site,
ils expliquent: “vous avez un crush lorsque vous et un autre
utilisateur de l’application vous plaisez mutuellement et avez manifesté
cet intérêt en cliquant sur le bouton en forme de cœur.
En français, un crush, en premier lieu,
n’est donc pas censé vous écraser, mais plutôt, rendre votre vie
meilleure dans un futur proche. Bien qu’il n’ait pas encore sa place
dans les dictionnaires français, les générations Y et Z l’utilisent régulièrement ce terme dans leur champ lexical amoureux.
“Un
crush, c’est une personne sur qui tu jettes ton dévolu. C’est une
personne qui t’attire physiquement, que tu as envie de connaître, avec
qui tu as envie d’approfondir une relation” explique au Huffpost Léa, 21 ans.
Selon plusieurs hommes et femmes entre 20 et 25 ans interrogés par le Huffpost,
un “crush”, c’est un peu l’étape avant le couple. Mais...on ne sait pas
combien de temps peut durer cette période. Et même: il n’y a aucune
certitude que l’étape du couple arrivera un jour. Justin, 24 ans, le
confirme: “rien n’est officiel, tout est dans le timing!”
Une nouvelle vision de l’amour
Si
chacun possède sa propre définition du mot “crush”, le terme met tout
le monde d’accord sur une réflexion: cela développe notre imagination.
“La base d’avoir un crush, c’est de se faire des films, penser que c’est
une personne idéale” explique Sofia, 21 ans.
Lire la suite ... www.huffingtonpost.fr
Bonjour, j’ai lu l’article, et je trouve ce type d’initiatives très intéressantes mais moi personnellement, je n’en ferai pas partie.
RépondreSupprimerSalut, je suis Nerea García, j'ai lu l'article, c'est assez intéressant.
RépondreSupprimerBonjour je suis Irene et j'ai lu l'article
RépondreSupprimerBonjour,je suis Clara Aperador et j'ai lu l'article!
RépondreSupprimerBonjour, je suis Marcos Conchon.
RépondreSupprimerJ'ai lu cet article où on peut observer l'intromission de la culture américaine même dans certains événements comme la Saint-Valentin. J'espère que le reste des langues résisteront face à l'anglais.
C'est choquant le fait d'observer comment les différentes générations emploient des termes différentes pour parler de la même chose.
En plus, je ne trouve pas cet idéalisme platonique très pratique. Je suis plus favorable à la théorie d'Aristote.